TRAN PHUC DUYEN (1923–1993), Indo­chine/Viet­nam.

TRAN PHUC DUYEN (1923–1993), Indo­­chine/Viet­­nam. Estampe (xylo­­gra­­phie), encre et couleurs sur papier, repré­­sen­­tant Guanyin (Quan Am), assise en padma­­sana sur un lotus, portant une couronne, et esquis­­sant la vitarka-mudra tout en tenant une fleur de lotus, colo­­rée dans une palette resser­­rée de blanc et de tons de ocre-bruns, signée en bas à droite « TRAN-PHUC-DUYEN » avec un sceau carré rouge et datée 1946. Collée sur un plus large papier brun portant une dédi­­cace : « Respec­­tueux souve­­nir à Mme et Mr Dr ( ?) Quenar­­del, Duyen, 47 ». Une tache sur ce papier (41 × 31cm) – Tran Phuc Duyen entre en 1942 à l’ cole des Beaux-Arts de l’ ndochine, à Hanoï, et obtient son diplôme en 1946. A la fois peintre et laqueur, il part en 1954 s’ nstal­­ler à Paris et y étudier aux Beaux-Arts. Cette œuvre a donc été réali­­sée au Viet­­nam l’ nnée de son diplôme, puis offerte et dédi­­ca­­cée l’ nnée suivante. On voit ici qu’ l maîtrise, comme d’ utres des ses condis­­ciples, l’ rt de la gravure sur bois.